Les F.F.I. au combat \ Lormier, Dominique. • 1994 Situer dans l'inventaire Ajout à votre panier
Dates extrêmes
1994
Description physique
Résumé
La libération de plus de la moitié du territoire national est l'œuvre exclusive des forces du maquis. En fixant l'équivalent de 20 divisions allemandes, les F.F.I. ont joué un rôle déterminant dans le succès des débarquements alliés en Normandie et en Provence. Le général Marshall, chef d'Etat-Major des armées américaines, a déclaré : « La Résistance française a dépassé toutes nos prévisions. C'est elle qui, en retardant l'arrivée des renforts allemands et en empêchant le regroupement des divisions ennemies à l'intérieur, a assuré le succès de nos débarquements. Sans vos troupes du maquis, tout était compromis. » La lutte que les F.F.I. engagent contre l'occupant ne se limite pas à la guérilla et aux sabotages divers. De véritables batailles vont être également livrées : les Glières, Saint-Marcel, le Mont Mouchet, le Vercors, le Mont Gargan, Picaussel, Mouleydier, Javerlhac, l'Isle-Jourdain Autun, Maisey, la Piquante-Pierre…. Les combats livrés par les seules forces de la Résistance auront permis de fixer, d'abord, puis de capturer, d'anéantir ou de ou de contraindre à la fuite d'importantes forces allemandes. Ce livre insiste sur le fait que la Résistance française n'a pas pris fin en août 1944. Sur le front de l'Atlantique, les F.F.I. ont enlevé de haute lutte les dernières places fortes allemandes en mai 1945.